Sur recommandation d’un collègue du secteur, le contremaître en dynamitage Viktor Eriksson a décidé de tester l’un des plus petits engins de forage du marché dans l’espoir de simplifier ses opérations. Un an plus tard, son idée s’est révélée brillante.
« Comme la machine est un peu plus efficace que celles des concurrents, nous pouvons gérer plusieurs types de travaux différents. Nous avons donc pu accepter une plus grande variété de projets », s’enthousiasme Viktor Eriksson.
L’entreprise familiale Dala Spräng och Grävteknik compte 15 employés. Elle est active dans les domaines de l’excavation, en passant par l’égouttage et le dynamitage. Depuis que l’entreprise a fait l’acquisition d’une foreuse Epiroc FlexiROC T15 R, il y a un an, le chiffre d’affaires du service de dynamitage a doublé.
« Notre activité de dynamitage a connu une forte croissance l’année dernière, avec des projets de petite à moyenne taille ainsi que des opérations d’assez grande envergure, jusqu’à 5 000 m³ (soit environ 6 540 ve³) de roches. Nous n’aurions jamais réussi un tel exploit avec notre ancienne machine de forage », précise Viktor Eriksson.
"En utilisant notre machine pour gérer l’ensemble des travaux, nous avons été en mesure d’augmenter le taux de production entre deux opérations de dynamitage. Malgré sa petite taille, la machine peut forer plus en profondeur, dans des roches plus dures, sans augmenter le temps de travail. Cela se ressent sur les bénéfices."
La foreuse compacte est particulièrement populaire auprès des entreprises de moindre envergure comme Dala Gräv och Sprängteknik. D’après Stefan Löfdahl, Epiroc Master Driller, sa popularité repose largement sur sa flexibilité.
« Beaucoup de clients l’utilisent pour de plus petits projets, comme des travaux d’aménagement paysager et de piscines. L’engin se prête également particulièrement bien aux espaces exigus. Aussi, comme il est équipé de roues, il détruit moins sur son passage. »
Dala Spräng och Grävteknik a également opté pour un plan de maintenance avec Epiroc, et ce, en vue de maintenir son taux de production. L’entreprise profite donc non seulement d’un service en continu, mais peut également contacter directement le technicien de maintenance Fredrik Norlinder en cas de panne.
« J’ai participé à ce projet et démarré la machine. Tout a bien fonctionné dès le premier jour. Nous entretenons des contacts personnels. L’entreprise m’appelle directement et j’effectue alors des travaux de réparation ou de maintenance, en fonction des besoins. Avec ce plan, nous pouvons aussi surveiller l’état de la machine », explique Fredrik Norlinder.
« Il suffit souvent d’un appel téléphonique pour résoudre rapidement les éventuels problèmes », précise Viktor Eriksson.
Les temps d’arrêt pouvant être préjudiciables sur le plan financier, il est essentiel de maintenir la machine en bon état de fonctionnement. Au travers d’un partenariat bien rodé, la machine n’a été à l’arrêt que quelques jours l’année dernière.
« Comme les taux de production sont bien supérieurs aujourd’hui, on remarque à peine les temps d’arrêt. Mais c’est quand même super de ne pas avoir à se préoccuper de l’entretien, pour ainsi se concentrer à 100 % sur les travaux », déclare Viktor Eriksson.
